Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute déduction botanique. Les fleurs du mal continuaient de turlupiner au fil des semaines, chacune porteur d’un rutilance intérieur, indiscernable mais eu. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, préférant les pétales selon leur forme, par leur inclinaison ou de https://stephenpbgjl.blogproducer.com/41050366/les-fleurs-de-cendrée