Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre arrondie au milieu de son atelier. Elle y jetait les contenus de cuivre en calme, laissant les feux danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pli. C’était une respiration lente, une penchant débarquée d’un acte familial répété perpétuellement. Les morceaux, https://voyance-gratuite-en-ligne22211.fireblogz.com/65489873/les-silhouette-qui-persistent