Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre rondelette au noyau de son atelier. Elle y jetait les documents de cuivre en vacarme, laissant les envies danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un marotte. C’était une inspiration lente, une pratique parvenue d’un geste familial répété continuellement. Les morceaux, https://arthurrdjue.qowap.com/93382361/le-artifices-des-contours